Un séjour à l’hôpital n’offre rien d’enchanteur.

Par Carl Labossière Je suis loin d'être un fervent de la poésie moderne.

Par Carl Labossière Monsieur Max Chauvet Directeur du Journal le Nouvelliste Monsieur Frantz Duval Rédacteur en Chef du Journal Le Nouvelliste Messieurs, La place et le traitement que votre (mon) journal a consacré à la mort du grand artiste Azor me font remonter le temps et me retrouver plus d'une décennie en arrière.

Pendant mon séjour à la Barbade, après que j'eus suivi à partir de Youtube des informations concernant le projet Haarp et sa possible responsabilité dans le tremblement de terre du 12 janvier, je pris « Failles » de Yannick Lahens que j'avais amené avec moi et que j'hésitais à lire.

Par Carl Labossière Le tremblement de terre du 12 janvier 2010 a, comme on le sait, suscité un formidable mouvement de solidarité à l'endroit des victimes de l'Haïti martyre.

Les funérailles de Madame Bonivert Claude, née Rose-Marie Géhy, ont été chantées le mardi 22 février en l'Eglise St Pierre de Pétionville. Au Parc du Souvenir où elle a été inhumée, Carl Labossière prononça l'oraison funèbre que voici :

Au cours d'un récent séjour aux Cayes, j'ai apprécié certaines initiatives de la Chambre de Commerce, d'Industrie et des Professions du Sud : journées de fermeture du secteur privé pour dire le ras-le-bol de la population à la suite des assassinats crapuleux d'un commerçant et d'un cambiste, réunions avec des autorités locales et nationales pour les porter à prendre leurs responsabilités face à l'insécurité qui semble vouloir poindre dans la zone. Je ne suis certes pas économiste. Cependant, ces initiatives couplées à des souvenirs du temps de mon enfance et de mon adolescence où un mouvement d'affaires intéressant animait la région m'ont amené à réfléchir sur le rôle que pourrait et devrait jouer l'association dans le développement du Sud doté de tant de potentialités.

Une Haïtiano-Canadienne, originaire de Port-au-Prince, Madame Kerline Joseph, a reçu du gouverneur général du Canada, S.

Même lorsque le pouvoir est ombrageux, l'humour chez nous qui caricaturiste les grands s'agitant sur le devant de la scène ne perd pas ses droits.

Par Carl Labossière Même lorsque le pouvoir est ombrageux, l'humour chez nous qui caricaturise les grands s'agitant sur le devant de la scène ne perd pas ses droits.